12 février 2008
2
12
/02
/février
/2008
11:20
Et hop, les 10 jours passes au Cambodge ont file a une vitesse exceptionnelle !
A peine de le temps de retraverser (super logique ce parcours...no comment) toute la Thailande en 8 heures de bus de nuit, 6 heures de bus de jour, 2 heures de camionnette, une arnaque au visa a la frontiere, 30 minutes de moto, 5 heures de bus (avec 4 bus differents cette fois car pour traverser les bras de riviere et faut passer en barge avec les bagages pour rejoindre un autre bus...), que c'est deja termine !
10 jours certes, mais 10 jours passionnants, bien remplis et places sous le signe de la gentillesse et de l'humour et de l'amitie !
Apres deux jours sur les jolies plages meconnues du sud cambodgien, nous avons retrouve Steph et Jeanf, des amis savoyards, lillois d'adoption et a l'accent Chti et cours de developpement, a Phnom Penh. Nous avons sillonne la ville a pieds et a moto (enfin en gros scooter, mais les garcons aiment bien qu'on dise moto) a la decouverte d'un passe colonial pas si vieux que ca.
Nous avons surtout ete tres emu par la confrontation avec le genocide quasi contemporain mene par Pol Pot et l'armee des Khmers rouges entre1975 et 1978... il ne me semble pas avoir entendu parler beaucoup de ca en cours d'histoire au lycee... un comble.
Pour bien comprendre les tenants et aboutissants et vous eviter un cours d'histoire, je vous conseille de lire "D'abord ils ont tue mon pere" de Loung Ung, rescapee de l'horreur.
La semaine s'est terminee en apotheose avec 3 jours a arpenter le merveilleux site d'Angkor et ses temples a la fois majesteux et mysterieux, a choisir les restos en fonction du prix du picher d'angkor Bier (pas chere, a peine 6 foulards - private joke), a eviter les cars de japonais, a s'emerveiller devant les villages flottants et la gentillesse des cambodgiens, a negocier sec le prix des tuks tuks, a profiter de nos chambres tout en bois avec terrasse privee....
Nous nous quittames lundi, les uns pour la France, les autres pour le Laos... mais ca c'est une autre histoire... et oui l'appel du hamac sur la terrasse en pilotis face au mekong, ca n'attend pas !
A peine de le temps de retraverser (super logique ce parcours...no comment) toute la Thailande en 8 heures de bus de nuit, 6 heures de bus de jour, 2 heures de camionnette, une arnaque au visa a la frontiere, 30 minutes de moto, 5 heures de bus (avec 4 bus differents cette fois car pour traverser les bras de riviere et faut passer en barge avec les bagages pour rejoindre un autre bus...), que c'est deja termine !
10 jours certes, mais 10 jours passionnants, bien remplis et places sous le signe de la gentillesse et de l'humour et de l'amitie !
Apres deux jours sur les jolies plages meconnues du sud cambodgien, nous avons retrouve Steph et Jeanf, des amis savoyards, lillois d'adoption et a l'accent Chti et cours de developpement, a Phnom Penh. Nous avons sillonne la ville a pieds et a moto (enfin en gros scooter, mais les garcons aiment bien qu'on dise moto) a la decouverte d'un passe colonial pas si vieux que ca.
Nous avons surtout ete tres emu par la confrontation avec le genocide quasi contemporain mene par Pol Pot et l'armee des Khmers rouges entre1975 et 1978... il ne me semble pas avoir entendu parler beaucoup de ca en cours d'histoire au lycee... un comble.
Pour bien comprendre les tenants et aboutissants et vous eviter un cours d'histoire, je vous conseille de lire "D'abord ils ont tue mon pere" de Loung Ung, rescapee de l'horreur.
La semaine s'est terminee en apotheose avec 3 jours a arpenter le merveilleux site d'Angkor et ses temples a la fois majesteux et mysterieux, a choisir les restos en fonction du prix du picher d'angkor Bier (pas chere, a peine 6 foulards - private joke), a eviter les cars de japonais, a s'emerveiller devant les villages flottants et la gentillesse des cambodgiens, a negocier sec le prix des tuks tuks, a profiter de nos chambres tout en bois avec terrasse privee....
Nous nous quittames lundi, les uns pour la France, les autres pour le Laos... mais ca c'est une autre histoire... et oui l'appel du hamac sur la terrasse en pilotis face au mekong, ca n'attend pas !